Depuis 2022, l’Algérie s’engage dans une transition énergétique majeure visant à réduire sa dépendance au diesel.
Le gouvernement a interdit l’importation et la production de véhicules équipés de moteurs diesel, privilégiant désormais les modèles essence, hybrides et électriques.
Cette politique s’accompagne du développement de transports collectifs propres, comme les téléphériques et l’électrification des chemins de fer, ainsi que de mesures incitatives pour encourager la production locale de véhicules électriques en partenariat avec des constructeurs étrangers.
Ce virage s’explique autant par des raisons économiques, éviter l’importation coûteuse de diesel et préserver les réserves en devises, que par des impératifs environnementaux liés à la lutte contre la pollution.
L’Algérie trace ainsi une voie claire vers une mobilité plus propre et durable, fondée sur l’électricité et la modernisation de ses infrastructures de transport.




































